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La colocation : ultime solution ?

Combattre la solitude ou économie d’argent, tout le monde s’y retrouve. Et surtout les personnes de moins de 30 ans. 

Avantages principaux.

Les prix de l’immobilier n’ont jamais été aussi élevés, et il devient assez compliqué pour les budgets ne serait-ce que moyens de parvenir à trouver des logements dont le loyer corresponde à leurs critères. La réponse intermédiaire est de vivre en colocation, pour partager les frais. Mais pas seulement ! Le mode de vie à plusieurs est devenu très tendance chez les jeunes, qui veulent éviter la solitude et partager une expérience. Prendre des repas, regarder un film ou écouter de la musique est toujours plus agréable quand on peut le faire avec son colocataire. Ces scènes de vie quotidienne font partie des bons moments qui ponctuent notre journée. Exception à l’époque, ce mode de logement est devenu un « passage obligatoire ». Que l’on aime ou que l’on s’y sente moins à l’aise, la colocation s’est transformée ces dernières années en expérience à vivre.

Ceux auxquels on pense après.

C’est partager un loyer, certes, mais c’est aussi se répartir les taches ménagères et les frais de bouche, tout comme les dépenses exceptionnelles (plomberie, électricien). C’est habiter dans un logement plus grand et payer moins cher, tout en bénéficiant des aides au logement de la CAF.

C’est également rencontrer des personnes, accroître son réseau social, être sûr de compter sur quelqu’un en cas de pépin. C’est découvrir une autre culture, une autre façon de penser, voire parler une autre langue pour ceux qui ont la chance de vivre avec des étrangers !

Avantage pour les bailleurs.

Et pour les propriétaires, c’est un sacré bénéfice : en règle générale, le loyer d’un même logement peut être revu à la hausse de 15 à 20% pour une location destinée à de la colocation par rapport à celle d’un couple.

éléments pour l'achat

Les éléments à considérer avant d’acheter une maison

Vous convoitez une superbe propriété sur un terrain à vendre de la Rive-Sud de Montréal ? L’achat d’une maison sera probablement le plus grand investissement de votre vie. C’est pourquoi il importe de prendre en considération certains éléments avant de faire le grand saut et de signer l’acte définitif de vente qui vous liera légalement à votre nouvelle propriété… pour le meilleur et pour le pire. Voici donc quelques éléments à considérer avant de vous mettre la corde au cou.

 

L’âge de la maison

Plus la maison que vous convoitez est âgée, plus le prix risque d’être alléchant, mais plus les risques seront également élevés qu’elle nécessite des rénovations et des réparations majeures. Ainsi, avant d’apposer votre signature sur l’acte de vente, prenez le temps d’évaluer tous les risques qu’acheter cette propriété implique. Si vous n’êtes pas convaincu de son état, vous pouvez faire appel aux services d’une firme spécialisée pour la faire inspecter, car souvent, les paroles rassurantes du vendeur ne suffisent pas.
Portez une attention particulière à l’état de la toiture et des fenêtres, car ce sont les travaux de rénovation qui coûtent le plus cher.

 

Les garanties du Québec

Si vous achetez une maison neuve, vous pourriez être éligible au Plan de garantie Québec des maisons neuves du gouvernement du Québec. Vérifiez que votre constructeur détient bien une licence d’entrepreneur général émise par la Régie du bâtiment du Québec et qu’il est bien accrédité par l’un des trois administrateurs du Plan de garantie, sans quoi, vous n’y aurez pas droit et devrez souscrire une assurance privée.
 
Cette garantie vous offre une protection contre les retards de livraison et les vices de construction découverts pendant ou après la réception de votre bâtiment.
Bien que votre maison soit neuve, vous devrez quand même la faire inspecter par un professionnel avant la réception pour voir si tous les travaux sont conformes.

la garantie légale pour une maison  

La garantie légale

Si vous faites l’acquisition d’une maison usagée, vous êtes protégé, sauf en cas d’indication contraire, par la garantie légale contre les vices cachés, qui oblige le vendeur à garantir son bien vendu contre les défauts. Puisqu’elle n’est pas toujours incluse avec la vente de la maison, il faut vous informer au vendeur si elle s’applique ou non à la propriété. Dans le cas contraire, vous pourriez être tenté de ne pas accepter d’acheter le bien immobilier si vous estimez que les risques sont trop élevés.
 
Informez-vous également à savoir si la maison a déjà été victime de sinistre. Si oui, le propriétaire est tenu par la loi de vous le dire. S’il omet de vous en parler et que vous le découvrez par la suite, vous pourriez intenter un recours contre lui en cas de dommage.

 

L’environnement

Trop de gens achètent une maison sans s’informer sur le quartier dans lequel ils s’apprêtent à emménager. Puisque vous y passerez une bonne partie de votre vie, prenez un après-midi pour sillonner les environs, questionner vos voisins, vous informer sur les habitants du quartier, sa sécurité, etc. Ce sont des détails qui, sur le coup, peuvent vous paraître anodins, mais qui pourraient vous éviter 10 ans de cauchemar, alors pensez-y bien.

 

Le chasseur immobilier

Un chasseur immobilier, c’est un peu comme un agent immobilier, sauf qu’il n’a aucun lien avec le vendeur ou le bailleur. La seule personne à qui il doive rendre des comptes, c’est vous !

Déterminez avec lui vos critères et il se chargera à votre place de scruter les annonces, d’appeler les propriétaires ou les locataires, prendra des RDV et planifiera vos visites ou visitera à votre place si votre emploi du temps ne vous permet pas de vous déplacer, pour vous faire un compte rendu final et sélectionner les biens qui correspondent le mieux à vos exigences, pour enfin négocier les prix. Il sera votre interlocuteur principal avec les agents immobiliers et les propriétaires. Sa particularité réside dans le fait qu’il détienne un mandat de recherche effectué pour le compte de l’acheteur.

Ses missions

  • il décortique les annonces immobilières
  • il relance les agences
  • il contacte les vendeurs
  • il organise des visites
  • il négocie le prix d’acquisition
  • il trouve des financements et aide à monter le dossier
  • il vous conseille en matière de juridiction, de fiscalité

Un autre avantage

Le chasseur immobilier est un professionnel de l’immobilier qui se dédie entièrement à votre projet et s’adapte à vos demandes. Ne perdez plus de temps à écumer les annonces papier, en ligne, à rôder en voiture dans le quartier souhaité en espérant découvrir un nouveau panneau « A VENDRE ». Le chasseur immobilier s’occupe de tout pour vous, et parfois mieux que vous car il sait poser les bonnes questions, trouver les éventuelles failles : il porte un regard extérieur neutre sur le bien immobilier ce qui l’empêche d’être emballé et d’être aveuglé par des détails que vous pourriez occulter à la visite. Quand les sentiments interviennent, c’est mal parti ! C’est pourquoi l’intervention d’une tierce personne est cruciale, pour plus d’objectivité et de partialité. Ainsi, à la signature, vous avez la garantie d’investir dans un logement qui vous corresponde à 100% et qu’il n’y aura pas de mauvaise surprise dans le futur. En plus de rechercher pour vous un toit, il cherche aussi à vous satisfaire et à ce que vous vous sentiez à l’aise dans votre espace.

Pour en avoir la liste complète, cliquez sur ce lien et vous trouverez toutes les informations que vous désirez sur ce métier et les services qu’ils proposent.

Vaut-il mieux acheter un bien immobilier à plusieurs ?

Accéder à la propriété est devenu de plus en plus difficile en raison de l’augmentation des tarifs des biens à la vente. C’est pourquoi l’habitat participatif a la cote en France en ce moment : peur de la solitude, avantages financiers, tout le monde y retrouve son compte. 

L’habitat participatif, c’est quoi ?

On appelle « habitat participatif » un bien immobilier acheté et divisé entre plusieurs propriétaires, qui jouissent de leur propre logement mais qui partagent des lieux communs comme la buanderie, le jardin, ou le garage. Ce type d’habitat est soit :

  • une Société Civile Immobilière : chaque associé apporte une somme d’argent, vous créez la SCI à plusieurs et la société devient propriétaire du bien immobilier. Sans objet commercial, cette société peut être constituée de minimum deux personnes et n’a pas de chiffre maximum d’associés, à condition qu’il s’agisse d’une association de personnes physiques et morales, d’un ensemble de personnes physiques ou d’un ensemble de personnes morales
  • une copropriété : selon la définition du Service Public, c’est une « organisation d’immeuble répartie en lots. Cette forme existe dès lors qu’un immeuble est divisé entre 2 propriétaires. La copropriété est fondée sur un acte, le règlement de copropriété, et sur la réunion de copropriétaires en un groupement, le syndicat. Un représentant, le syndic de copropriété, est désigné pour gérer son fonctionnement et son entretien, en collaboration le plus souvent avec le conseil syndical. Le dossier ne traite pas des lotissements. »

Les points positifs

  • c’est moins cher (entre 15% et 20% d’économies) que de construire un bien immobilier individuel
  • on échappe à la solitude, on passe de bons moments
  • il est plus facile de couvrir de multiples sites d’offres immobilières à plusieurs, et de visualiser l’ensemble des possibilité d’achat de biens

Les points négatifs

  • monter un tel projet prend plus de temps : il faut compter environ 3 à 5 ans pour concrétiser l’idée, du fait qu’il faille obtenir l’accord de toutes les banques (toutes ne sont pas encore au fait de ce mode d’acquisition) et un accord juridique
  • il faut que les associés se réunissent chaque année dans le cas de la création d’une SCI
  • de même, dans le cas d’une SCI, les associés devront tenir un registre assez strict et une comptabilité rigoureuse
  • créer une SCI a un coût : entre 900 et 2 000€ selon le professionnel consulté

Si vous habitez dans le Val-de-Marne, renseignez-vous sur les prix pratiqués sur le marché !

investir dans la loi duflot

Investir écologiquement avec la loi Duflot 2014

La loi Duflot : principe et définition

Dispositif fiscal remplaçant la loi Scellier, la loi Duflot 2014 a été mise en place par le gouvernement afin de dynamiser la construction de logement neuf. Ainsi les investisseurs souhaitant réaliser un projet en loi Duflot 2014 bénéficie d’un avantage fiscal. Sous forme de réduction d’impôt cet avantage fiscal s’élève à 18% du montant de l’acquisition et peut ainsi atteindre la somme de 54 000 € directement déductible des impôts.

 

Quelques conditions en loi Duflot

Avant de prétendre à la réduction d’impôt, il est nécessaire de respecter certaines conditions d’éligibilité prévues dans le cadre du dispositif loi Duflot 2014. Parmi ces conditions, la mise en location de l’appartement au titre de résidence principale pour une durée de 9 ans ainsi que respecter un certain niveau de consommation énergétique. Le niveau de performance énergétique RT2012 est ainsi requis pour les permis de construire des logements neufs ou en VEFA déposé après le 1er janvier 2013.
Ainsi le label RT2012, condition de la loi duflot 2014, fixent à 50 kWhep/m².an la consommation maximale d’un logement, soit 5 fois moins que la consommation énergétique moyenne.

 

Label RT 2012, les points positifs et négatifs en loi Duflot ?

De nombreux investisseurs et autres professionnels de l’immobilier se plaignent du surcoût qu’incombe cette nouvelle condition d’éligibilité dans le cadre de la loi Duflot sur le prix d’acquisition d’un appartement loi Duflot. Ainsi une augmentation de 5% à 7% s’installe entre un logement loi Duflot Labellisé RT2012 et une construction en 2005.

Néanmoins il faut regarder sur le long terme pour comprendre que ce surcoût peut très rapidement être rentabilisé. Diminuant la consommation énergétique de 4 à 5 fois moins qu’un logement classique il est possible d’effectuer de réelles économies. Il est également prouvé qu’un appartement possédant un faible indice énergétique se  vend plus rapidement mais également à un prix plus élevé.

Enfin, suite à la mise en place de cette nouvelle condition d’éligibilité qu’est le Label RT2012, la plupart des résidences se nichent au cœur d’éco-quartiers composés de nombreux espaces verts, et proposant ainsi un cadre de vie reposant à proximité des villes les plus dynamiques telles que Lyon, Montpellier, Bordeaux ou encore Paris.

Passez au home staging avant de vendre

Le home staging correspond au réaménagement d’un intérieur, en vue de vendre son bien immobilier plus facilement. Il ne s’agit pas de redécorer pour que cela nous plaise, mais bien pour que le prospect se projette davantage dedans et puisse imaginer ses meubles, ses affaires personnelles, sa vie.

Depuis quelques années, le secteur de l’immobilier connaît une crise, responsable de la hausse des prix et de l’hésitation ainsi provoquée. Il ne suffit plus de ranger son intérieur pour déclencher un coup de coeur chez le visiteur. Désormais plus méfiants, plus indécis, les éventuels acquéreurs ont revu leurs standards à la hausse. Dans l’idée d’en faire un logement témoin, vous devez dépersonnaliser votre habitat, supprimer vos affaires personnelles, le dépouiller de toute trace de vous afin que le visiteur puisse emménager mentalement, faire des aménagements dans sa tête. Bref, qu’il se sente déjà chez lui, alors qu’il est encore chez vous. D’ailleurs, vous devez penser au fait qu’une fois votre maison en vente, elle ne vous appartient plus : elle est la propriété du marché immobilier.

Il faut que le décor plaise, mais qu’il soit neutre; il faut que la pièce soit dégagée, pas encombrée, que vos photos de famille au ski, vos souvenirs de vacances au Mexique et les peluches de vos enfants aient disparu. Exit les bibelots, rachetez des tapis et des rideaux neufs, et n’oubliez pas les finitions ! Un coup de peinture par ci, un joint de fenêtre relogé par là, un store banne réparé… Ces petits détails que vous ne voyez plus vont sauter aux yeux du futur acquéreur et le dissuaderont.

Loi ALUR : les nouveautés 2014

Votée le 20 mars, la loi garantissant l’Accès au Logement et à un Urbanisme Rénové va chambouler le paysage locatif. Zoom sur les 10 mesures qui vont ravir et secouer bailleurs et locataires :

  1. les mensualités vont baisser avec l’encadrement des loyers : ainsi, le pouvoir d’achat des foyers augmentera
  2. la Garantie Universelle des Loyers protègera les propriétaires des impayés
  3. de la même façon, les locataires seront protégés : les honoraires des agences seront plafonnés, les pièces justificatives à fournir seront moins nombreuses et un formulaire type de contrat de location sera créé pour éviter les abus des agences
  4. les marchands de listes de biens immobiliers à louer seront dans l’obligation de posséder l’exclusivité sur les logements figurant sur leurs listes
  5. l’encadrement de l’activité et des tarifs des syndics sera amélioré : un fonds de prévoyance sera créé, visant à ce que l’accès au financement de travaux soit simplifié
  6. l’accès à un logement social et le traitement des dossiers seront plus faciles et vous aurez la possibilité d’en suivre l’état directement en ligne sur la plateforme dédiée
  7. les logements insalubres seront traqués, et leurs bailleurs seront pénalisés d’une amende à hauteur de 1 000€ par jour s’ils n’entreprennent pas des travaux de réhabilitation.
  8. comme vu dans notre article précédent, la trêve hivernale a été prolongée de 15 jours et englobera également les occupants illégaux (dits « sans droit ni titre »)
  9. les nouvelles solutions de logement, comme l’habitat collaboratif (acheter un bien immobilier à plusieurs et en partager des pièces communes pour économiser de l’argent), seront mises en avant grâce à la rédaction de statuts juridiques spécifiques
  10. la protection de l’environnement fera partie de l’équation : ainsi, on privilégiera l’expansion de « l’habitat léger » (type yourtes ou mobil-homes); les terres naturelles et agricoles seront davantage protégées; l’artificialisation des sols sera interrompue

La trêve hivernale

Cette trêve empêche les propriétaires de logements qu’ils louent à des particuliers d’expulser leurs locataires.

Pourquoi ?

En général, un locataire est expulsé s’il n’a pas payé ses loyers, mais d’autres raisons peuvent entrer en cause, comme par exemple « s’il trouble la tranquillité de l’immeuble, s’il entreprend des travaux compromettant la solidité de l’immeuble, s’il sous-loue le logement sans autorisation».http://www.conso.net/fiches_pratiques_Web/Expulsion_locataire.pdf

Les exceptions

Une décision d’expulsion ne peut être appliquée au cours de la trêve hivernale, c’est ce qui est prévu à l’article L613-3 du Code de la construction et de l’habitation. Certaines conditions sont malgré tout à prendre en considération. Peuvent être exclus, en dépit de la trêve d’hiver :

  • les squatters
  • les locataires d’un immeuble ayant fait l’objet d’un arrêté de péril
  • les personnes dont le relogement est garanti

Quand ?

La trêve hivernale est supérieure à la saison d’hiver, vu qu’elle dure 5 mois : du 1er novembre au 31 mars. Elle devait prendre fin le 15 mars 2014 mais la période a été étendue au 31 à cause des intempéries et des températures très basses que nous avons connues en mars 2013. C’est d’ailleurs un prolongement à durée indéterminée, car cela ne vaut pas seulement pour 2013 et 2014, mais bien pour les années à venir également.

Et après ?

Une fois la trêve finie, le locataire faisant l’objet d’une mesure d’expulsion se verra dans l’obligation de libérer le logement, sans quoi une procédure d’expulsion sera prononcée contre lui.

Construire son barbecue tout en brique

L’été approche, la température sera ambiante et il ne reste plus que d’un endroit convivial comme votre jardin, ou votre terrasse pour accueillir ses amis ou sa famille autour d’un barbecue alléchant. Pour ce mois de juillet, construisez votre propre barbecue de jardin avec simplicité et qui ne demande pas assez à votre portefeuille.

Budget et matériaux

Pour un modique somme de 100 à 200 euros, réaliser tout en brique votre barbecue avec : « Un niveau à bulle, Pattes métalliques en métal inoxydable, béton, truelle de maçon, des briques et pourquoi pas des ampoules led sur vigileo, pour économiser l’électricité en cas de festin nocturne.

Les étapes à suivre

Votre emplacement est un choix crucial pour pallier à tout éventuel accident. Un barbecue se doit d’être placé sur une surface plane, bétonnée ou dallée et généralement contre un mur. Ce qu’il faut éviter surtout c’est un emplacement qui est susceptible d’engendrer un incendie, tel que près d’une clôture ou une pergola ou encore un emplacement qui est susceptible d’engendrer un enfumage comme la fenêtre.

Quand vous aurez choisi votre emplacement, il faut savoir le délimiter en posant à blanc des rangs de briques pour former un U dont la taille dépendra de votre inspiration toute en tenant compte d’une réserve pour les combustibles.

La troisième et dernière étape consiste au marquage du contour de vos briques à l’aide d’une craie afin dresser le barbecue. Après tous, vous aurez la possibilité de poser les premières briques sur les trois côtés fermés de l’édifice. Ensuite, vous pouvez palettiser le second et troisième étage de briques en juxtaposant un étage à un autre avec du ciment. Le niveau à bulle vous aidera à vérifier l’horizontalité de votre étage.

La construction d’un barbecue est non seulement une histoire d’instaurer la convivialité et l’ambiance entre famille ou collègues, mais aussi bien de se familiariser avec des techniques de maçonnerie. Accompagner d’un bon éclairage pour l’extérieur avec des ampoule gu10 renforcera d’avantage son utilité. Ce qui vient d’être énoncé est une forme assez simple, mais peut être modelé selon les besoins et créativité de chacun.

Salle de bain : bien choisir la décoration

Comme pour toutes les pièces de l’habitation, la décoration de la salle de bain ne doit pas être prise à la légère. Aménagement, couleur des murs, sanitaires et éclairage, rien ne doit être négligé.

Penser à l’aménagement

Pour une décoration homogène de la salle de bain, un bon agencement s’avère indispensable. Petite ou spacieuse, la salle d’eau doit être aménagée de manière à disposer d’un maximum de confort et obtenir un résultat esthétique optimal. La première étape consiste à bien choisir les éléments de la salle de bain. Dans un espace réduit, opter pour une douche dans un angle de la salle de bain est recommandé pour minimiser la perte d’espace. Concernant le point d’eau, mieux vaut privilégier un emplacement face à la porte pour avoir une sensation de profondeur ; ceci vaut aussi bien pour une petite que pour une grande salle de bain. Si les toilettes sont abritées dans la salle de bain, il est préférable de les cacher au premier regard et si possible, derrière la porte. Pour parfaire la décoration de la salle de bain, il est préconisé d’adopter une déco personnelle, pour en faire une pièce unique. Cependant, il faut éviter à tout prix de surcharger la salle de bain, en remplaçant par exemple les plafonniers par des spots ou LED incrustés.

Les tendances déco du moment

Devenue véritable pièce à vivre de l’habitation, la salle de bain vous transporte dans un univers de plaisir et de bien-être avec les nouvelles tendances déco du moment. En effet, chaque meuble de salle de bain devrait correspondre au style que l’on veut donner à la pièce : vintage, minimaliste ou autre… Concernant les sanitaires, la baignoire en îlot suscite un véritable engouement actuellement. Les vasques et WC suspendus envahissent de plus en plus les salles de bain pour se sentir comme en apesanteur. Les meubles de salle de bain adoptent pour leur part des lignes épurées et des couleurs très claires comme le blanc. Pour une ambiance épurée et zen, sols et murs, véritables outils de décoration de la salle de bain vont embrasser des couleurs douces et neutres, à savoir gris, blanc, taupe ou beige. Souvent négligés, les accessoires s’avèrent également primordiaux dans la décoration de la salle de bain. Fauteuils, tapis, bougies, pommeaux de douches design, barres de douche, tout est permis pour un aspect plus harmonieux de la salle de bain.